Lorsque le médisant devient aphone, le Yiddish se lache!
דאס קול האט ער פארלוירן, נאר דער בייזער הולדז איז אים געבליבן
Dos kol hot er farloyren , nor der bayzer holdz iz im gueblibn
Il a perdu sa voix, mais la méchante langue lui est restée.
Sagesse ou clairvoyance?
Le Yiddish regorge d’expressions savoureuses qui enrichissent l’imagination et qui évoquent le phantasme !
Finalement, la voix n’est pas le siège de la médisance, elle n’en est que le véhicule.
La voix s’et tue, mais la source du mal est plus profonde… Peut-être encore plus enfouie au sein de l’Etre.
La voix s’et tue, mais la source du mal est plus profonde… Peut-être encore plus enfouie au sein de l’Etre.